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Olivier Royant invité de Maitena sur RMC

Olivier Royant invité de Maitena sur RMC

Olivier Royant invité de Maitena sur RMC

Publié le 01/06/2018

 

« Celui qui disparaît ce jour-là, ça n’est pas que John Kennedy, c’est le fils de l’Amérique, c’est le prince héritier, c’est la promesse de l’avenir » - Maitena

 

Oliver Royant était sur RMC pour parler de son dernier livre John, le dernier des Kennedy, il revient sur sa rencontre avec John Kennedy Jr et son métier de journaliste.

 

Retrouvez le podcast ici

 

Résumé de l'ouvrage :

De John, on connaît surtout une image célèbre. Celle d’un petit garçon qui salue militairement le cercueil de son père en novembre 1963 aux funérailles du plus populaire des présidents des États-Unis. Dès lors, on lui interdira d’imaginer avoir une existence normale. Les Américains ont chéri l’enfant, l’adolescent, l’homme : son style, sa décontraction, son charme. Comme un membre de leur famille, ils l’ont regardé grandir, élevé comme un fils ou aimé comme un frère. Ils ont rêvé de le voir un jour occuper le Bureau ovale.

Héritier d’une légende, celui que les Américaines ont élu « l’homme le plus sexy de la planète » se devait aux yeux du monde d’accomplir un destin à la mesure de JFK. John voulait surtout vivre intensément avant que le sort ne le rattrape. Quand John trouva la mort, l’émotion fut immense. L’Amérique perdait son prince. Olivier Royant, un ami. L’auteur dresse ici le portrait intime d’une icône des années 1990. Le mythe Kennedy rimait avec l’Amérique éblouissante, romanesque et tristement perdue.

Pour aller plus loin

John, le dernier des Kennedy

Olivier Royant
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Je suis une femme, je ne suis pas une victime, je lai t, ces choses-l passent. Quand le statut de victime tend devenir une valeur ajoute, un anoblissement que certaines veulent acqurir tout prix comme on cherche atteindre un statut social, je pense, au contraire, quhroser la victime plutt que de vouloir la respecter, cest tuer la guerrire, assassiner la cratrice, valoriser la soumise, poser un interdit sur le fait que la femme soit lgale de lhomme. Je ne dis pas que les femmes ne rencontrent pas, encore aujourdhui, bien des maux quil faut vouloir gurir, je dis que les inscrire dans une guerre des sexes perptuelle, en appelant la rescousse le pass dune socit au sexisme systmique clairement tabli, ne convient pas. La guerre des genres est un tango funeste qui conduira sa perte notre galit lumineuse. Apprendre sunir plutt qu se dsunir, avancer dans le mme sens, ne ft-ce que par instinct de survie, est notre seule issue face aux combats quil nous reste mener. Dsormais que les lois de lgalit existent, cest nous tous de rflchir aux moyens de les faire appliquer, cest nous tous de nous duquer. Et dduquer les autres. Bien des batailles fministes restent mener, saliner la moiti de lhumanit pour y parvenir est une hrsie. La paix des sexes de @banondessources est disponible en librairie ! @lousarda.
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On vous dvoile la premire phrase du livre dAurlie Jean, Les algorithmes font-ils la loi ?, disponible en librairie depuis le 6 octobre. Aurlie Jean sintresse une question au cur des dbats actuels, celle de la rgulation juridique des algorithmes : comment la loi est-elle pense et applique au temps des algorithmes ? Comment les algorithmes sont-ils utiliss au sein de linstitution judiciaire ? Et est-il techniquement possible de les rguler ? Il vous tente ?
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Les algorithmes font-ils la loi ? dAurlie Jean. Aprs le succs de De lautre ct de la Machine, Aurlie Jean nous entrane dans un nouveau voyage : au cur de nos institutions juridiques et des algorithmes qui sy exercent. Comment la loi est-elle pense et applique au temps des algorithmes ? Comment les algorithmes sont-ils utiliss au sein du systme judiciaire ? Et est-il vraiment possible de les rguler ? Cest un fait : les algorithmes rythment nos vies. Ils nous aident nous dplacer, travailler, nous soigner, et mme lgifrer. Certains, alarmistes, diraient quils sont de partout Or, peu dentre nous les comprennent, sans parler den matriser les subtilits. Nos dirigeants, parlementaires et nos juristes ny font pas exception, et participent pour certains augmenter la confusion autour de leur utilisation et de leur suppos danger... Pourtant, il est aujourdhui ncessaire, voire capital, de comprendre le fonctionnement des algorithmes dvelopps, mais aussi danticiper leur dveloppement, de lencadrer et de laccompagner aussi judicieusement que justement. Une chose demeure cependant certaine : les algorithmes ne disposent daucune personnalit juridique face un tribunal. En revanche, sils ne peuvent rellement faire la loi, ils linfluencent et en orientent dsormais la pratique. Mal employs, ils deviennent une menace pour ses principes de transparence et dquit. Bien matriss, ils peuvent, au contraire, guider ceux qui la font et lexercent afin de garantir le traitement galitaire de chacun face la justice. Consciente du dfi qui nous attend, Aurlie Jean nous appelle agir et propose de dompter (plutt que de rguler) les algorithmes travers des lois souples et anticipatrices, afin de ne rien sacrifier au progrs tout en les pensant dans la plus grande objectivit scientifique, sociale et conomique. Car cest cette mme transparence intrinsque lexercice de la justice qui doit sappliquer dans le champ des algorithmes afin de permettre chacun du citoyen au lgislateur de garantir lharmonie, la justice et lessor intellectuel au sein de nos socits.
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