« Ce culte du bon vieux temps, il nous paraît dangereux parce qu’il paraît être à l’origine du pessimisme structurel des Français, de leur défiance vis-à-vis du présent et de leur peur de l’avenir. »
« Sans tomber dans un progressisme béat, [Marion Coquet et Pierre-Antoine Delhommais] parviennent à rendre les discours des déclinistes contemporains moins séduisants »